
Pour la conscience écologique, sur le second tour des élections présidentielles au Brésil et sur la défense de l'agenda environnementale avec réduction du CO2, il faut dire que la position d' indépendance prise par la notre leader des verts vis-à-vis des deux candidats était la seule attitude à prendre, si nous comprenons que l'histoire du Brésil ne s'arrête pas au second tour des élections le 31 octobre 2010.
Nous rejetons la négociation classique " pragmatique" pour le second tour impliquant promesses d'emploi et nous avons essayé de mener le débat sur le terrain des programmes politiques.
Nous rejetons la stigmatisation des candidats. Nous n'irons accepter les discours sans formulation politique. Les candidats sont des gens honnêtes, ont une histoire correcte, représentent en large sens un champ social-démocrate d'idées, en plus d'un passé de opposition à la dictature et participation dans la construction de notre démocratie imparfaite.
Nous rejetons la stigmatisation des candidats. Nous n'irons accepter les discours sans formulation politique. Les candidats sont des gens honnêtes, ont une histoire correcte, représentent en large sens un champ social-démocrate d'idées, en plus d'un passé de opposition à la dictature et participation dans la construction de notre démocratie imparfaite.
Cependant, les deux font partie d'alliances avec des oligarchies politiques traditionnels associés à des intérêts qui réagissent farouchement contre notre programme environnemental soutenable pour l'économie engagé en la réduction du CO2.
Jacob (J.) Lumier
Jacob (J.) Lumier
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